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23 mai 2021
22 mars 2021
Livre - Percées et Chimères de Charline Effah
Je n'ai pas acheté de nouveau roman depuis le début de l'année 2021. Applaudissez !
J'ajoute à ma fierté le fait que ma pile de "Livres à lire" a comptabilisé un livre de moins : "Percées et Chimères" de l'autrice Gabonaise Charline Effah.
J'ajoute à ma fierté le fait que ma pile de "Livres à lire" a comptabilisé un livre de moins : "Percées et Chimères" de l'autrice Gabonaise Charline Effah.
30 janv. 2021
Livre - Stay with Me d'Ayobami Adebayo
Il y a des romans qui vous embarquent dans une histoire et vous font rentrer dans la peau du personnage à un tel point ! Je m'en vais vous parler de "Stay With Me" d'Ayobami Adebayo.
16 juin 2020
Le Livre - Demain je m'en vais, je meurs de Muetse-Destinée Mboga
Cela fait un moment que je n'ai pas parlé de littérature ici. Je me rattrape aujourd'hui avec mon dernier livre de canapé et de chevet pendant le confinement:
"Demain je m'en vais, je meurs" de Muetse-Destinée Mboga, une jeune écrivaine Gabonaise.
1 févr. 2017
DU PLAISIR DE FLANER DANS UNE LIBRAIRIE
J'adore flâner dans les librairies. quand il fait trop froid ou que je n'ai rien à faire, ou juste parce que l'envie m'en prend. Je vais m'asseoir dans une librairie et je parcours les rayons à lire des 4e de couverture ou des passages. C'est mon petit plaisir solitaire.
Le livre est mon premier passeport pour des destinations aussi fascinantes que différentes. Ouvrir un roman, rencontrer des gens et s'inspirer de leurs vies. Lire pour ressentir, comprendre et voyager.
28 févr. 2014
Le Livre: Transwonderland Retour au Nigéria de Noo Saro-Wiwa
Je m'étais promise de lire plus de romans écrits par des auteurs de la diaspora africaine. Aujourd'hui, je vous parle de Transwonderland Retour au Nigéria de Noo Saro-Wiwa. Ce livre m'a été proposé par Agathe et j'ai pris du plaisir à le lire tant je m'identifie bien au personnage principal Noo.
11 déc. 2013
Wishlist Decembre
1. Le Musc Blanc de Reminiscence. Je suis tombée amoureuse de cette fragrance, et en particulier de celle de Reminiscence.
2. I Know Why the caged bird sings de Maya Angelou. J'ai entendu beaucoup de bien de cette auteure. Je commencerai donc par le tome 1 de son auto-biographie.
3. La palette Naked 2 d'Urban Decay. Je la veux, je la veux!
2. I Know Why the caged bird sings de Maya Angelou. J'ai entendu beaucoup de bien de cette auteure. Je commencerai donc par le tome 1 de son auto-biographie.
3. La palette Naked 2 d'Urban Decay. Je la veux, je la veux!
11 juin 2013
Le livre: The Help - La couleur des sentiments
9 avr. 2013
Célibat - Pourquoi Les romans Harlequin nous mentent ?
Se retrouver, sans un sou en poche, dans une petite ville perdue au cœur du Montana, voilà une situation que Rachel n’aurait pas pensé vivre un jour… Et elle n’aurait pas non plus imaginé de travailler pour un rancher, elle, la citadine ! Mais ce qu’elle n’aurait vraiment jamais su prévoir, c’est qu’elle tomberait amoureuse de ce ténébreux rancher qui, d’un seul regard, a troublé son cœur ; ce Shane Merritt qui pourtant, de toute évidence, ne lui semble pas être un homme pour elle…
Harlequin nourrit des rêves et un imaginaire à l'eau de rose, on le sait, et pourtant on se laisse avoir inconsciemment...
4 févr. 2013
Le Livre : Verre Cassé - Alain Mabanckou
25 janv. 2013
J'ai rencontré Alain Mabanckou - Librairie Galerie Congo
Mardi, je suis allée avec Marina Ntsonga à la Librairie-Galerie Congo pour voir l'expo photo de "Lumières de Pointe Noire" de Caroline Blache et Alain Mabanckou.
Super moment dont je suis sortie avec 4 romans de l'écrivain.
13 janv. 2013
Lise Lisons - Challenge 1 mois 1 livre
Je participe au club de lecture "A Moi(s) la lecture!" lancée par Ancelocks et Miss Dada.
Un autre moyen de m'empiffrer de livres.
7 janv. 2013
Le Livre : Le Pèlerin de Compostelle - Paulo Coelho
Très souvent, au cours de notre existence, nous voyons nos rêves déçus et nos désirs frustrés, mais il faut continuer à rêver,sinon notre âme meurt.
8 août 2012
Chroniques Facebook - Les Vies Privées de Lex
J'ai vu les chroniques Facebook arriver comme une invasion de sauterelles dans le sahel. J'en ai commencé beaucoup et j'ai vite arrêté au bout du premier chapitre, surtout quand ce sont des histoires vaguement inspirées de séries télénovelas.
2 juin 2012
Le Livre: Fleur du désert de Waris Dirie
Essayons de changer ce que signifie: "Etre une femme."
Waris, excisée selon la tradition, n'a que treize ans lorsqu'elle décide de s'enfuir, de quitter ses parents, afin d'échapper à un mariage forcé. Après une dangereuse cavale dans le désert somalien, elle rejoint Mogadiscio, puis Londres où elle devient domestique. C'est alors qu'elle est remarquée par un photographe de mode et que va démarrer sa prodigieuse carrière de mannequin. Avec émotion et sincérité, Waris Dirie raconte les détails de son étonnante histoire, évoquant...
Mon avis:
Que dire? une femme courageuse qui a bravé les épreuves pour survivre, échapper à tout ce qui reniait son statut de femme libre de disposer de son corps. Ce ne sont pas des pratiques sorties d'un autre âge, non! Tout ceci a toujours cours et des femmes comme Waris contribuent à ce que les mentalités changent sans pour autant sombrer dans le misérabilisme pour faire pleurer dans les chaumières. Je l'ai lu très facilement et je préfère ne pas voir le film pour des raisons évidentes.
18 janv. 2012
Le Livre: La Bâtarde d'Istanbul de Elif Shafak
La Bâtarde d'Istanbul d'Elif Shafak
La Bâtarde d'Istanbul - 4e de couverture
"A la fin des années 1990, chez les Kazanci, famille turque d'Istanbul, les femmes sont de grandes amoureuses, tandis que les hommes ne vivent pas vieux. Chez les Tchakhmakhchian, installés à San Francisco, Rose abandonne son époux et se remarie avec un Turc. Armanouch, sa fille, se rend à Istanbul et rencontre Asya, la plus jeune des Kazanci, la bâtarde. Peu à peu, les secrets se révèlent."8 janv. 2012
Le Livre: Biboubouah Chroniques équatoriales
Ferdinand ALLOGHO-OKE
"Biboubouah" est un mot bien populaire dans le lexique quotidien fang. Il désigne toute action, toute nouvelle, toute entreprise étonnante, surprenante... en un mot insolite.
A cet enfant qui réveille sa grand-mère et pleure la nuit dans une cabane perdue de la forêt pour réclamer un yaourt "glacé", nous disons qu'il fait un "éboubouah"...
D'un coin du pays où s'abattent à un rythme soutenu calamités naturelles et épidémies, nous dirons que c'est une zone prolifique en "biboubouah".
Cristallisé en ouvrage, ces "biboubouah" ne sont autre qu'un mince chapelet de chroniques contemporaines authentiques."
Ferdinand ALLOGHO est né au Gabon en 1953. Après ses études il rentre à l'Ecole Normale Supérieure de Libreville. "Biboubouah" est son premier roman.
Le livre est tellement bien que je ne veux pas trop vous spoiler. Allez l'acheter et lisez-le absolument !
Mon avis
Le livre est tellement bien que je ne veux pas trop vous spoiler. Allez l'acheter et lisez-le absolument !
Dans ce roman, je me suis replongée dans le Gabon que je connais: simple mais riche en anecdotes croustillantes ancrées dans nos us et coutumes.
Je me suis revue à écouter les histoires des sages assis autour du feu au village. J'ai retrouvé les expressions imagées de ma langue fang. Un vrai plaisir et beaucoup de fous rires. Je ne veux pas vous gâcher l'intrigue en faisant une revue complète mais sachez que je suis à la recherche de tous les livres de Ferdinand Allogho-Oké, notamment Vitriol Bantu.
"Le décès dans un village Ntoumou n'est pas seulement un moment de compassion, de tristesse et d'abattement moral mais aussi et surtout une opportunité dorée de boire et de manger des "choses"
"Des familles entières s'étaient déplacées depuis des marmots aux ventres bedonnants d'ascaris jusqu'aux vieillards à la mastication continuelle, en passant par les femmes. Ces dernières ont cette manie de venir allumer leurs pleurs juste à l'orée du village affligé alors que, durant le déplacement, tout tournait à la plaisanterie et aux éclats de rire."
Acheter ici: Biboubouah: Chroniques équatoriales - Bourrasque sur Mitzic
A lire aussi: Habiter la frontière de Leonora Miano
Extraits
"Le décès dans un village Ntoumou n'est pas seulement un moment de compassion, de tristesse et d'abattement moral mais aussi et surtout une opportunité dorée de boire et de manger des "choses"
"Des familles entières s'étaient déplacées depuis des marmots aux ventres bedonnants d'ascaris jusqu'aux vieillards à la mastication continuelle, en passant par les femmes. Ces dernières ont cette manie de venir allumer leurs pleurs juste à l'orée du village affligé alors que, durant le déplacement, tout tournait à la plaisanterie et aux éclats de rire."
Acheter ici: Biboubouah: Chroniques équatoriales - Bourrasque sur Mitzic
A lire aussi: Habiter la frontière de Leonora Miano
*Afro Mango*
7 déc. 2011
Habiter la frontière - Léonora Miano
J'ai trouvé cet extrait d'un texte de Leonora Miano dans Le Monde Magazine N°64 - L'Afrique qui vient. Je le partage avec vous.
13 oct. 2011
Le Livre: Racines d'Alex Haley
Enfant, j'avais déjà regardé la série télévisée "Racines" que j'appelais d'ailleurs "Kounta Kinté", nom du personnage principal.
Quand l'histoire est tirée d'un roman, je préfère toujours le roman que l'adaptation au cinéma. J'ai acheté "Racines" d'Alex Haley. Je l'ai laissé traîner sur la table pendant 2 semaines.
Et puis je me suis décidée à commencer. Je garde la tête froide mais certains passages sont vraiment insoutenables notamment le voyage par bateau.
Cette cruauté est le fait de l'Homme. L'Homme qui, enfermé dans son ego, soulève tous les arguments possibles (religieuses, économiques, anthropologiques...) pour justifier ses crimes...
Une vieille affaire de "fin qui justifie les moyens". Merci bien chers Humanistes! Oui oui, l'Homme est bon!
J'ai retenu quelques passages que je mettrai ici au gré de mon avancement dans l'histoire.
"Des Noirs qui obéissaient - cela Kounta pouvait le comprendre, ils y étaient obligés; mais ce qui le dépassait, c'était qu'ils paraissaient s'y complaire. Et puis, si ces Blancs aimaient leurs esclaves au point de leur donner des cadeaux, pourquoi ne les rendaient-ils pas vraiment heureux - en leur donnant la liberté? Il se demandait d'ailleurs si certains Noirs n'étaient pas comme ces animaux domestiques qui sont incapables de survivre par eux-même" (Kounta)
Quand l'histoire est tirée d'un roman, je préfère toujours le roman que l'adaptation au cinéma. J'ai acheté "Racines" d'Alex Haley. Je l'ai laissé traîner sur la table pendant 2 semaines.
Racines
Et puis je me suis décidée à commencer. Je garde la tête froide mais certains passages sont vraiment insoutenables notamment le voyage par bateau.
Cette cruauté est le fait de l'Homme. L'Homme qui, enfermé dans son ego, soulève tous les arguments possibles (religieuses, économiques, anthropologiques...) pour justifier ses crimes...
Une vieille affaire de "fin qui justifie les moyens". Merci bien chers Humanistes! Oui oui, l'Homme est bon!
J'ai retenu quelques passages que je mettrai ici au gré de mon avancement dans l'histoire.
"Des Noirs qui obéissaient - cela Kounta pouvait le comprendre, ils y étaient obligés; mais ce qui le dépassait, c'était qu'ils paraissaient s'y complaire. Et puis, si ces Blancs aimaient leurs esclaves au point de leur donner des cadeaux, pourquoi ne les rendaient-ils pas vraiment heureux - en leur donnant la liberté? Il se demandait d'ailleurs si certains Noirs n'étaient pas comme ces animaux domestiques qui sont incapables de survivre par eux-même" (Kounta)
Alex Haley
"Mais les Africains d'chez toi et les Indiens d'ici, z'ont fait la même bourde - tu laisses entrer les Blancs chez toi, tu leur offres à manger, tu leur donnes un lit et avant d' comprendre c'qui t'arrive, tu t'retrouves à la porte ou derrière les barreaux!" (Le Violoneux)A lire aussi: Histoire d'Awu de Justine Mintsa
3 mai 2011
Le Livre: Histoire d'Awu de Justine Mintsa
Aujourd'hui, je vais vous parler d'un roman que j'ai beaucoup aimé: Histoire d'Awu de Justine Mintsa
Histoire d'Awu de Justine Mintsa - 4e de couverture
Awu ne demande chaque jour qu'à coudre sa vie au point de l'amour. Bon père, bon époux, Obame Afane a le courage de ses veines où coule aussi de l'encre rouge. Mais, cathédrale accablante aux fondements jaloux et possessifs, la forêt inextricable, porteuse d'une vie et d'une mort extrêmes, doit toujours triompher.Avec une innocence brutale, Histoire d'Awu raconte l'indicible réalité que vit Awudabiran', dite Awu, comme un cri de tendresse cruelle, dans un village au cœur de l'Afrique noire d'aujourd'hui, quand s'effilent ou s'ensauvagent tous les codes et les repères.
Histoire d'Awu de Justine Mintsa - Mon Avis
Au travers du récit, péripéties comprises, l'auteur Justine Mintsa, traite de la place de la femme, ici Awudabiran, dans une société Gabonaise en mutation entre tradition et modernité.
Awu et sa condition d'épouse.
« En échange de leur fille, la famille a reçu une somme rondelette, des pagnes, de la boisson et du bétail en quantité respectable… » (page 12).
C'est le principe de la dot qui permet à l'homme et à sa famille de "posséder" l'épouse, jusqu'à la mort du mari. A la mort de son mari, Awu et ses enfants sont complètement dépouillés. Awu va donc devoir se battre et ne pas se laisser marcher sur les pieds longtemps.
Awu et son rêve d'épouse.
« Qu’un jour son mari la tienne par la taille et la serre très fort, à lui faire perdre le souffle » (page 15).
Amour, moralité et bonne foi sont les valeurs qu'elles inculquent à ses enfants et qui font d'elle le garant de la stabilité du foyer, même après la mort d'Obame Afane son mari.
Envers et contre tout, Awu veut un mariage d'amour dans une société traditionnelle où le romantisme n'est pas du tout monnaie courante. Elle refuse de n'être qu'une terre fertile pour son mari, sachant que ce denrier garde toujours en lui le souvenir de sa 1ère épouse défunte.
Bonne lecture!
A lire aussi : Comment cuisiner son mari à l'Africaine de Calixthe BEYALA.
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