NETFLIX - LE FILM ROAD TO YESTERDAY

Hier, j'ai scrollé dans le catalogue Netflix et j'ai décidé de regarder le film Road to Yesterday avec Genevieve Nnaji.

NETFLIX - LE FILM MOM

Hier, j'ai scrollé dans le catalogue Netflix et j'ai décidé de regarder le film MOM.

LE FILM: LA NOIRE DE... - SEMBENE OUSMANE

"Originaire des Philippines, Zita Cabais-Obra a travaillé pendant des années comme esclave pour une riche famille française à Paris. Aujourd'hui elle est libre et a créé la page Facebook et l'association ASF ASOSASYON afin d'aider les victimes d'esclavage en France et de leur donner des conseils juridiques." C'est le résumé d'une vidéo regardée sur le site de Arte.

Nous sommes en 2020 et l'esclavage est toujours d'actualité, pas si loin de chez nous, en France, dans notre immeuble parfois. On l'appelle "esclavage moderne" mais il n'a rien de moderne. Les chaînes ont juste pris une autre forme.

Dans les années 60 Sembène Ousmane l'a mis à l'écran dans le film La Noire de..., le premier long métrage réalisé par un cinéaste Africain.

LE FILM: SEARCHING PORTÉE DISPARUE

Le week-end dernier, j'étais malade à ne pas pouvoir me lever. J'ai donc passé beaucoup de temps à scroller l'écran de mon téléphone, à tourner les pages de mon roman du moment et à regarder des séries et des films: j'ai terminé la série Better Call Saul, un spin-off de Breaking Bad, j'ai regardé plusieurs films africains (dont je parlerai un jour ici) et le film "Searching - portée disparue".

LE FILM: FAAT KINE - SEMBENE OUSMANE

Ce matin en scrollant mon feed Tumblr, je suis tombée sur des captures du film Faat Kine de Sembène Ousmane. Ces captures m'ont donné envie de regarder le film. Le soir en rentrant du boulot, plutôt que de végéter devant Canteloup sur TF1 (ah ces programmes tv pathéthiques!), j'ai cherché le film sur youtube, j'ai apprêtée mon houmous et mes carottes et j'ai lancé le film.

LE FESTIVAL BLACK MOVIE SUMMER 2017 : ROYAL !

Vous faites quoi en ce moment ? Et puis non, je ne veux pas savoir au risque de sombrer un peu plus dans l'aigreur. Pour ceux (nombreux?) qui restent à Paris, il y a le Festival Black Movie Summer du 5 au 25 Août 2017.

LE FILM: NOUS 3 OU RIEN

Je suis allée voir ce film avec la conviction que ce serait un bon moment parce que si Marina dit qu'un film Français et beau et qu'il faut aller le voir (au cinéma) c'est qu'il vaut le détour.

J'y suis donc allée, comme ça, sans lire le synopsis (c'est te dire la confiance!) et je n'ai pas été déçue.

AFROSTREAM AND CHILL: WINDECK

Après Before 30, la série Afrostream & Chill continue avec Windeck, une production Angolaise dont j'avais déjà entendu parler sur la timeline de @PaolaAudrey l'année dernière. J'ai bien essayé de regarder la série à ce moment-là, mais c'était en VO et pas de sous-titrages en Anglais (la barrière de la langue mes amis!).

Afrostream & Chill: La série Before 30

"Même avec la pasteurisation, toute chose a une date de péremption. J'ai entendu dire un jour qu'arrivée à l'âge de 30 ans, une Nigériane atteint la sienne. La seule pasteurisation qu'il lui reste est le mariage.  Mais que sacrifierait-elle pour éviter la péremption? Renoncerait-elle à l'amour? Abandonnerait-elle la famille? Sacrifierait-elle sa foi? Ou encore l' amitié? Quoiqu'elle fasse le sablier s'écoulerait et le temps filait à toute allure..." 

Ainsi commence le premier épisode de "Before 30", une série Nigériane que j'ai regardée hier soir sur Afrostream.

Brown Sugar Days: 5 Films Afro-Américains au Grand Rex

Hello par ici, j'espère que vous allez bien et que 2015 commence bien pour vous.

Pour ma part, ce n'est pas la grande forme mais "everything's gonna be alright". J'en profite pour rattraper toutes mes séries en retard et regarder quelques Madea que je voulais voir depuis longtemps.

D'ailleurs pour les fans des comédies romantiques afro-américaines, une belle surprise vous attend le 8 mars 2015. Certes, ce n'est plus une surprise puisque je m'en vais vous en donner le contenu.

New: la web-série Ghanéenne An African City

An African city est une web-série produite par la Ghanéenne Nicole Amateifio, qui met en scène 5 jeunes belles Ghanéennes trentenaires ambitieuses et célibataires, Nana Yaa, Sade, Ngozi, Makena et Zainab, qui après avoir vécu en Occident décident de rentrer au Ghana à la recherche de l'amour.

Série Shuga - Lupita Nyongo'o

Flash back sur la mini-série Shuga dans laquelle j'ai découvert Lupita Nyongo'o il y a 2 ans par Mymou.

Mes 10 Acteurs Noirs du moment

On les a vus partout ou presque (cinéma ou séries TV). Tout ou presque a été dit sur leurs performances. Voici ma liste des 10 acteurs afros et/ou américains du moment.

Iroko Tv Nollywood - Tango with me et Shuga Naija

Je vous ai déjà dit mon amour pour les films Nigérians et Ghanéens.

En général, je me rabats toujours sur le site Iroko Tv où l'on retrouve des films et séries classés par thématiques (action, drama, comédie...), par acteurs (Tonto Dikeh, Oge Okoye, Genevieve Nnaji...), payants ( $3.50 par mois) ou gratuits.

Le film "Tango With Me"

Lola et Uzo forment un couple parfait. Fraichement mariés, ils ont la vie devant eux. Tout semble aller pour le mieux, lorsque ce qui devait être le plus beau jour de leur vie se transforme soudain en véritable cauchemar : un évènement inattendu vient bouleverser le cours des choses et va les amener à se découvrir mutuellement...

La saison 3 de la série "Shuga".

Comment la jeunesse Nigériane vit le sexe, l'amour et les relations.

Besos!

Le Film: Le Majordome

Je suis allée voir le Majordome (The Butler) avec Forest Whitaker.

Le Film: An Oversimplification Of Her Beauty

An Oversimplification Of Her Beauty, un film indépendant réalisé par le photographe et artiste visuel Terence Nance, qui est coproduit par le MoCADA (Museum of Contemporary African Diasporan Arts) de New York.

Le Film: Viva Riva!

"Kinshasa is a very strong place, it's a place with a very high energy" (Hoji Fortuna)

Synopsis Allociné: Interdit aux moins de 12 ans 

Kinshasa, où la vie nocturne voluptueuse et trépidante semble toujours prête à engloutir le temps. Quelques rares privilégiés y mènent la grande vie, au mépris de tous les laissés-pour-compte. Ceux qui n'ont rien envient ceux qui ont tout et ils n'aspirent qu'à une seule chose : devenir les nouveaux maîtres de la nuit.

Riva est l'un de ces rêveurs. Il rentre plein aux as après dix ans d'absence, bien déterminé à s'offrir, avec son vieux copain J.M., une folle nuit de beuverie, de danse et de débauche. Reine de la nuit, mystérieuse et distante, Nora danse et Riva est subjugué. La belle appartient à un caïd local, mais Riva s'en moque : il lui faut cette fille. Aura-t-il sa chance ? Son argent, Riva l'a "emprunté" à son ex-patron, un truand angolais qui le poursuit à travers la ville en semant la panique sur son passage. Au point du jour, le rêve se transforme en cauchemar : après son heure de gloire, Riva finit sa course dans un recoin sordide de la ville...

Sortie: le 18/04/2012

Interview de l'acteur Hoji Fortuna (en Anglais)

Je vais le voir ce soir et je reviens pour vous donner mon avis final.

EDIT: alors, je ne sais par où commencer. Je ne le ferai donc pas. 
Juste une chose (et je ne le dis pas seulement parce que c'est un film africain): ALLEZ LE VOIR! 

Le Film: La colline aux coquelicots

Synopsis Allociné:
"Umi est une jeune lycéenne qui vit dans une vieille bâtisse perchée au sommet d’une colline surplombant le port de Yokohama. Chaque matin, depuis que son père a disparu en mer, elle hisse face à la baie deux pavillons, comme un message lancé à l’horizon. Au lycée, quelqu’un a même écrit un article sur cet émouvant signal dans le journal du campus. C’est peut-être l’intrépide Shun, le séduisant jeune homme qu’Umi n’a pas manqué de remarquer...
Attirés l’un par l’autre, les deux jeunes gens vont partager de plus en plus d’activités, de la sauvegarde du vieux foyer jusqu’à la rédaction du journal. Pourtant, leur relation va prendre un tour inattendu avec la découverte d’un secret qui entoure leur naissance et semble les lier…
Dans un Japon des années 60, entre tradition et modernité, à l’aube d’une nouvelle ère, Umi et Shun vont se découvrir et partager une émouvante histoire d’amitié, d’amour et d’espoir."

       

"Summer of Goodbye (Sayonara no Natsu)" interprété par Aoi Teshima

J'aime les films d'animations japonais (mangas) et j'ai été séduite plus par la bande originale que par l'histoire. Les mots presque murmurés de la chanteuse, le piano sensible, les violons, les accords en mineur... Réveiller ma corde mélancolique. Penser à ces instants où il faut se résoudre à dire au revoir à ceux qu'on aime.

Le film est aussi beau qu'il est déchirant.
J'ai pleuré dans la salle de cinéma.
Allez le voir si vous pouvez.

*Afro Mango*

Le Film: Intouchables

Première chose: Je n'aurais pas dû lire les commentaires sur le film avant d'aller le voir. Cela fait monter la barre. Bon on ne va pas en rajouter.

C'est un joli film (excellente interprétation de François Cluzet) mais en sortant de la salle, je me suis demandée si chaque spectateur n'était pas venu se donner bonne conscience. Tant mieux d'ailleurs si les bénéfices servent à la bonne cause (association Simon de Cyrène).

Le titre "Intouchables" m'évoque 2 choses quant à notre vision des handicapés. Déjà, employer le mot "handicapé" n'est déjà pas bien perçu.

1. "Intouchables" comme ce groupe d'individus en Inde maudits qui ne sont pas les bienvenus dans tout lieu convenable. Ces personnes qui ne peuvent espérer ni reconnaissance ni ascension sociale.

2. "Intouchables" comme "nous ne pouvons rien dire à vous autres sous peine de blesser votre sensibilité". Aborder le sujet tabou qu'est le quotidien difficile des handicapés.

Bon, dans le film, Philippe est quand même riche à pouvoir se payer toute l'aide qu'il veut. Mais, rouler à 200km/h n'est pas grave si on feint de conduire un tétraplégique en urgence à l'hôpital? Je demande. 
Au passage, je ne croise pas beaucoup de tétraplégiques roulant en Maserati... en même temps, si je traîne constamment mes savates du côté de Barbès Rochechouart...

Cependant, en sortant de la salle, allons-nous accueillir le jeune de banlieue encapuché (oui je parle de la fameuse terrifiante Capuche) dans le métro avec joie, amour et papillons? Allons-nous arrêter de stationner sur les places de parking réservées aux handicapés?

J'ai souri, j'ai ri, j'ai même presque pleuré (la BO y est pour quelque chose). J'ai oublié la crise de l'Euro et celle de mon compte bancaire par la même occasion et les rumeurs de dévaluation du Franc CFA ok je digresse là! Mais que voulez-vous? Le peuple demande de l’Émotion.

Ce film n'a pas pour prétention de changer le monde par Magie-De-Noël mais il a au moins le mérite d'aborder le sujet du handicap. Cela aurait été bien d'embaucher un acteur en situation de handicap (il y en a ?) mais bon, ça ne ferait peut-être pas vendre.

"Red lights" - Vib Gyor (BO Intouchables) 

Le Film: Polisse - Maïwenn

Un film dur. Un enfant est aussi cet être jeté au milieu d'un monde décadent et violent.

Angoissant parce que le pédophile peut être l'individu lambda: un père, un grand-père, un prof de gym... les plus pervers ne sont pas toujours issus des banlieues d'ailleurs, s'il est besoin de le rappeler. L'un des personnages, riche à souhait et intouchable, viole sa fille sans vergogne.

"Maman, Papa m'aime trop."

Réaliste parce qu'il dépeint l'un des maux de cette société où les jeunes ont perdu les repères et livrés à eux-mêmes et aux prédateurs. Elle se frotte devant la webcam parce que le pervers menace de couper sa connexion Internet. Elle accepte de sucer un groupe de garçons pour récupérer son portable... 

"Mais c'est que tu devais tenir à ce portable!!"

Certes, on mange du "Nique la police" toute la sainte journée. Certes. 

Ce film montre les gentils policiers dont on nous parle souvent dès qu'il y a une bavure policière. Ceux qui nous appellent à ne pas généraliser. Cette police là pour protéger les enfants sur le terrain, avec des moyens souvent limités. Les protéger des adultes, les protéger d'eux-mêmes. Je ne dresse pas l'apologie de la police, je vois juste où va le film.

Les membres de la brigade dans le film sont des gens "normaux" qui aiment assez leur travail pour se lever le matin, voir autant d'horreurs et rentrer le soir pour s'occuper de leurs problèmes personnels et familiaux. Ils font leur possible pour garder un certain équilibre mais le film se termine quand même sur le suicide de l'un des officiers...

J'ai ri. J'ai eu le coeur serré. Enfin, je ne sais pas si j'ai aimé ce film. Il est trop dur.