AFROSTREAM AND CHILL: WINDECK

Après Before 30, la série Afrostream & Chill continue avec Windeck, une production Angolaise dont j'avais déjà entendu parler sur la timeline de @PaolaAudrey l'année dernière. J'ai bien essayé de regarder la série à ce moment-là, mais c'était en VO et pas de sous-titrages en Anglais (la barrière de la langue mes amis!).

Synopsis:

Difficile d’évoluer dans l’univers impitoyable de la mode… et les salariés de Divo, un puissant magazine angolais, l’ont bien compris ! Avides d’argent et d’ascension sociale, ils ne reculeront devant rien pour arriver à leurs fins. Les Voss sont une grande famille de la bourgeoisie locale, propriétaire du magazine de mode Divo. À sa tête, le richissime homme d’affaires Xavier Voss, qui aime aussi bien faire courir son monde que collectionner les tendrons. Justement, depuis qu’une vamp, Victoria, venue de sa cambrousse, l’a convaincu de la recruter à la rédaction, il a presque transformé le journal en un véritable champ de bataille. En fait, Victoria nourrit l’ambition de séduire Kiluanji, le fils de Xavier, à la fois mannequin et journaliste de la maison. Ce faisant, elle heurte le projet de Rosa Bettencourt, maîtresse déchue de Xavier Voss, qui rêve de devenir rédactrice en chef de Divo, en fourguant sa fille (Kassia) au même Kiluanji. Mais celui-ci, un éternel naïf, n’a d’yeux que pour Anna-Maria, la photographe du magazine, jalouse jusqu’au bout des ongles.

Mon avis:

Alors Windeck est pour moi une série "Nation Branding" en cela que tout est glamourisé au point de donner au téléspectateur envie d'aller visiter l'Angola (même si on se doute qu'on ne nous montre que le côté chic de l'Angola). La qualité de l'image: PROPRE. On est loin des séries locales que je croise souvent sur youtube... Coiffure, vêtements, le make up, un peu de wax ici et là. les accessoires, les décors: tout est nickel!

Avec Windeck, on retrouve les codes de la télénovela mais la production a su les adapter au marché Angolais. On le voit jusque dans la sélection musicale locale qui va du kuduru à la kizomba (petit bémol: je déteste le générique surtout parce qu'il est trop long). 

Je ne peux terminer cet article sans rajouter que les hommes de cette série sont à manger à la petite cuillère.

Besos!